De la vie à la mort

Chapitre 1 : Le Début de la vie

La foret de Duknael était très paisible et harmonieuse à la fois comme à son habitude, on pouvait écouter le chant de toute sortes de créature qui paraissait nous ensorcelé de leur douce mélodie.

Nael grand et puissant guerriers elfes en étais le Souverain, depuis bientôt 100ans il menait les elfes de la contrer. Ce qui n’était qu’une vulgaire plaine casiment stérile était aujourd’hui un des plus beau royaume du pays de Falgorn. Le seigneur Nael avait usée de tout son amour et de tous ces pouvoirs elfiques pour pouvoir donner la vie sur une terre de mort. Personne ne crut en ce jeune seigneur qui détenait pourtant une grande puissance au fond de lui-même, tout le monde était ébahi à la vu de l’œuvre de Nael. La seul est unique elfe qui crut vraiment en lui n’étais d’autre que sa femme Garaï, elle était issue d’une ligné d’elfe noir. Garaï n’avait jamais été comme son peuple et pour cela elle c’étais fait châtié de ses terre natales.

A l’age de 125ans Nael avait atteint son apogée jamais ses armée et son royaume n’avaient été aussi puissant. Lui et sa femme décidèrent d’avoir un enfant, quelque mois plus tard née Bougnaque digne décédant d’un père elfe et d’une mère elfe noir. Nombre critiqua ce fils et seul descendant de la ligner, la forêt de Duknael ne fut pas réjouie de cette naissance bien au contraire. Des rumeurs couraient que ce fils mettrait fin à l’harmonie de cette terre si ces racines d’elfe noir ressurgissaient. Personne ne fit attention à ces mauvaises langues mais en secret une chose terrible se préparait au coffin de la forêt de Duknael…

Chapitre 2 : Un Grand combattant

Les années passèrent, le jeune prince avait maintenant 16ans depuis bientôt maintenant une décénie il apprenait l’art subtile de la guerre. Ces talents à l’arc étaient bien évidement impressionnant mais normal chez un elfe, c’est surtout sont habilité à l’épée qui ébahi bon nombre d’adversaire se mesurant à lui en combat amicale. Son aisance dans la magie rendait jaloux bon nombre d’elfe d’un certain age qui avait drôlement de mal à pratiquer cette discipline. Son père lui-même pourtant guerrier aguerrie était stupéfait par les progrès de son fils.

Bougnaque aimait rester seul des heures dans la forêt de Duknael, c’est la qui se sentait le mieux loin de tout le monde, loin de toute ses personnes qui le regardait comme si il était un voleur. C’est dans cette forêt qu’il avait grandie et c’est ce lieu qu’il devra défendre quand l’heure de monter sur le trône arrivera. Il savait que ce moment ne tarderait pas, en effet son père était soufrant, mais étant très fiers il ne montrait aucun signe de faiblesse devant ses sujets.

Un jour maussade d’automne Bougnaque se promenait dans la forêt, il avait entendu la garde de son père parlé de quelque gobelins qui rodaient dans les parage à la recherche d’elfe faible. Il détestait les créatures qui s’attaquait a plus faible qu’elles, c’est pour cette raison que quelque heure auparavant il avait préparé son équipement et de quoi manger pour quelque jours.

Pour lui c’étais comme une odeur de défis, il adorait cette délicate impression, c’est la que sa véritable âmes de guerrier ressortait. Il en avait déjà parlé à son père mais ce dernier ne l’avait pas pris au sérieux, par contre sa mère avait fondu en larme en apprenant cette nouvelle, mais elle ne voulu pas expliqué ce soudain état de tristesse. Sa rage au combat aurait elle un rapport avec les origines de sa mère ? Avait-il une seconde personnalité en lui ? Etait-il vraiment lui-même quand il disputait un combat ? Tant de questions dans la tête de ce jeune elfe.

Mais le temps n’étais pas au questions, sa rage augmentait au fur et a mesure ou il avançai dans la forêt, il régnait un sentiment de mort qui pesait sur lui. En effet le temps se dégradais de plus en plus, le ciel grondait à en faire trembler le sol, le vent faisait craqué les arbres, des feuilles morte volait dans tout les sens et recouvrait le sol. Soudains Bougnaque entendit sur sa gauche un hurlement, par réflexe il bondit sur le coté brandie son arc et sortie une flèche de son carquois près a décocher cette dernière sur le premier être hostile qui se montrera…

Chapitre 3 : La révélation

Tout ses sens en alerte, l’elfe scrutais les alentours toujours brandissant son arc prêt à tuer qui hauserait si approcher. Le cris ne c’étais pas répété, et la forêt elle m’aime avait cessé d’émettre un quelconque sons, plus un bruit ne parcourait l’air. Le temps parut stoppé, Bougnaque transpirait c’était sans doute le stress qui l’envahissait, toute la rage qui l’avait tant motivé l’avait quitté. Il décida quand même de s’avancer vers le lieu ou le cri avait surgis. Il parcourait les quelques dizaines de mettre avec toute la prudence dont il pouvait faire preuve, évitant de marcher sur les branches pour éveiller tout soupçon.

Arrivé derrière un arbre déraciné ce qui offrait une bonne cachette, Bougnaque vit une scène des plus étrange. Trois elfes discutaient avec une dizaine de gobelins, il crut être atteint d’hallucination en reconnaissant le blason de sa famille sur les armures des guerriers elfes. Peut être une mission d’espionnage pensât-il. Mais le cadavre d’une femme elfe allongé a coté des gobelins le ramena bientôt à la réalité des choses, cette acte étais belle est bien une tromperie envers son père et son peuple. La rage remontait en lui, il avait de plus en plus de mal à tenir sur place derrière l’arbre déraciné, ses membres commençait a tremblé tellement sa colère grondait en lui, il ne pouvait plus se retenir.

Sans réfléchir il sortit de sa cachette brandie son arc de nouveaux, il décocha deux flèches à une vitesse hallucinante, deux gobelins tombèrent instantanément. Les trois elfes ne bougèrent pas, aucun signe de peur ne se lisait sur leur visage, les gobelins quand à eux éprouvais une grande fureur mais aucun deux ne bougea. La troupe de gobelin poussait des cris de rages, mais les elfes ne bougeaient toujours pas. Un des trois guerriers leva la main, plus aucun bruit ne se fit entendre, les gobelins se contentaient de fixer Bougnaque, le vent qui avait cessé de souffler repris de plus belle provoquant l’envole de milliers de feuilles qui jonchaient le sol…

Chapitre 4 : Entor

Le combat allait débuter, il n’y avait aucun doute la dessus, la rage en Bougnaque ne cessait d’augmenter sa rage, il fixait le cadavre de la femme qui avait la gorge tranchée.
- Comment pouvez vous faire une chose aussi cruel, ignoble lâche !?
Les trois elfes sourirent, aucune émotion ne parcourait leur visage, ils étaient aussi froids que la brise du matin.
- REPONDEZ IMMEDIATEMENT
Bougnaque sourit et cessa de fixer la dame pour mieux regarder ces ennemis, et laissa échapper ces paroles d’un air des plus détendu.
- Sinon…
A ces mots un des elfes courus armes a la main vers Bougnaque, se derniers ne fit aucun mouvement pour se défendre, au dernier moment quand son ennemis était et quelque pat devant lui il se décala. L’elfe tombât à terre, personne ne compris ce qui venait de ce passé, mais une arme venait d’apparaître dans la main droite de Bougnaque. Les gobelins reculèrent d’un pas, et on vit une émotion de peur apparaître sur le visage des deux elfes restant. Plus un bruit ne se fit entendre, les gobelins si hostile quelque instant avant paraissaient terrorisé par ce qu’il venait de voir.

Bougnaque avançait vers ses ennemis maintenant, il étais en transe rien ne pouvais l’arrêter, jamais il avait été dans un t’elle état de rage. Il ne contrôlait plus son corps … Il leva son arme, c’était une épée que son père lui avait confier à l’age de 10ans, il lui avait laissé entendre que cet épée possédait des pouvoirs magique mais jamais ces dernier ne c’étaient manifesté. Les deux elfes reculèrent, les gobelins ne savaient pas comment il fallait réagir, fuir ou combattre. Les deux traites prirent les avant et hurlèrent d’une même vois.
- Ramenez nous sa tête putride bêtes !
Les Gobelins ne se firent pas attendre et chargèrent, à corps et âmes contre leur ennemi qui venait de terrasser un de leur maître…

» Jeu - Suite de mots.