La Citadelle de l'Aube Nouvelle
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Forum des Enfants de l'Aube Nouvelle et de l'Ordre de la Dame de l'Aube
 
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 La Bibliothèque Eternelle

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Artorius
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MessageSujet: La Bibliothèque Eternelle   La Bibliothèque Eternelle Icon_minitimeJeu 24 Aoû - 18:23

Chapitre 1 Première mission pour la guilde

Peut après mon entrée dans la guilde des Enfants de l’Aube Nouvelle je me vit confié ma première mission par mon frère aîné Nemesis.
Cette mission consistai a éliminé une horde de trolls sauvages.
Inquiet je voulu voir mon frère Bougnaque pour qu’il m’assiste dans cette tache.
Je me rendit dans son royaume situé quelques lieus plus a l’Est de ma province,sur le chemin je rencontrait de nombreuse personnes fort charmantes il était beau a voir des elfes et des humains cohabité de façon si harmonieuse et prospère en ces temps de grand troubles.
Chemin faisant je rencontrai une elfe en fort mauvaise posture, intrigué je décidai d’aller voir se qu’il se passait de plus près.
En descendant de mon cheval je fut accosté par un homme de grandeur égale a un arbre.
Cette énergumène ne semblait pas me reconnaître, en effet cette chemise de chanvre ne me m’étai que gère en valeur et l’on eut put me confondre avec n’importe le quel de mes sujets.
»Halte la mon ami vous ne pouvez resté ici ! » Grogna la montagne
»Sache mon ami que je passe ou bon me semble et que conseils je n’ai a recevoir de personne et grand jamais de toi ! »
L’homme voulut me saisir mais parant son coup je roulai entre ses jambes et après l’avoir frappé au cou l’homme tombas au sol.
Sachant qu’il n’était pas en danger de mort je me ruai sur cette jeune elfe au visage angélique, pur et aux yeux si rieurs si apaisants mais a présent rempli de larmes.
Voulant aidé cette elfe du mieux qu’il le pouvait il fit venir dix champions de son armée pour conduire cette magnifique dame a un endroit on l’on pourrai soignai une si belle dame dans un endroit convenable.
Le lendemain j’arrivai au abords de cette magnifique forteresse je pensai en ayant comme un arrière goût de jalousie envers mon ami que les terres de Falgan était les les plus belles qu’il me fut donner de voir .Cette architecture Elfique en courbes et en hauteur donner forme aux plus beaux bâtiments du monde.

Enfin je retrouvai mon vieille ami Bougnaque.
Le soir même nous nous retrouvions a la taverne chacun ayant devant soi une grande pinte d’hydromel nous parlions de ma mission,et ne voulant plus resté dans sa forteresse a ne rien faire il me proposa de m’accompagner .
Après maints efforts et de multiple chantages je cédai .
Le midi du lendemain même nous partions a l’aventure accompagnés de 100 grands archers elfes.
Tout le long du voyage vers les terres du nord je n’avais de cesse de songeai a cette belle elfe croisé si brièvement croisée sur la route, je penser a son doux visages et a ses petites main d’apparence si fragile. Mais je fut rapidement tiré de mes songes par les rires des soldats.
Je regardai en contrebas de la route et je vit un convoi de Laïdes. Les Laïdes sont des traîtres qui ont coopérer avec les gobelins et autres zombies. Bon nombres de soldat craché sur le convoi en bas de nous mais nous fumês vites sortis de notre mépris par des colonnes de fumé s’élevant d’un village non loin de nous Bougnaque hurla alors

»Au pas de charge mes frères !!! »
Nous chevauchions depuis moins d’une minute quand une demi douzaine de trolls nain sortirent d’une grotte a flan de montagne , la rapidité des archers a tirer une volée de flèches me stupéfia 4 trolls tombèrent au sol ils poussait encore des grognements rauque nous entendions les cris stridents des villageois apeurés .
Nous entrions dans le village l’atmosphère était suffocante et les chevaux refusaient d’avancé plus loin il nous fallait mettre pied a terre aussi a la vu des soldats les trolls se ruèrent sur nous en hurlant les archers décochaient leurs flèches pendant que Bougnaque et moi les couvrions de l’avancée des trolls nain sur le flan droit .
Frappant l’ennemi de part et d’autres moi et mon frère furent rapidement submergé je plantai ma lame dans le cœur d’un trolls quand un autre se rua sur moi par derrière je n’eu le temps de retiré mon épée du torse de la bête que celle venant par derrière levai déjà son bras pour me donner un coup certainement fatale quand je l’aperçu hurler avant de tomber .Mon fidèle ami venait de me sauver la vie.
Les corps de nos hommes jonchaient le sol et un troll immense m’écrasa avec sa patte droite et mon épée me glissa des mains dans un ultime réflexe je me saisit de la dague qu’il portait a la cuisse elle lui avait été offerte par un guerrier elfe sur son lit de mort il enfonça sa dague profondément dans le pied du monstre qui hurla avant de tomber a l’arrière écrasant plusieurs autres trolls nains.
Pendant un temps nous ne comprenions pas pourquoi les monstres reculaient mais très vite je comprit qu’il était leurs chef.

Une fois rentrai au royaume je fus accueilli par mon chef et ami Nemesis le soir nous décidons de festoyer pendant que nous finissions notre pinte nous fumes rejoint par Bougnaque et par la belle elfe que j’avais sauvé il se dirigeât vers moi un air méchant sur le visage déjà Nemesis était levé pour l’arrêté dans sa course qu’il m’avais empoigner et me serrer dans ses bras en disant
»ALORS TU A FAIT LA CONNAISSANSSE DE MA NIECE !!!!!!!! »

Sa nièce était la belle elfe don j’était tombé amoureux !
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MessageSujet: Re: La Bibliothèque Eternelle   La Bibliothèque Eternelle Icon_minitimeVen 25 Aoû - 16:08

Chapitre 2 Les pilleurs de l’Abbaye

Après être rentré de ma première mission je fut dans mon royaume confronté a plusieurs problème dont celui des champs de blé. La terre étant resté en jachère pendant trop longtemps le sol était épuisé et les aliments a base de céréales comme le pain se mirent rapidement a manqués.
Devant ce problème il n’existait qu’une seule solution : importé de la nourriture d’autre royaumes voisins.
Je demandai alors a une de mes alliés si nous pouvions faire affaire sur le plan commercial.
Forte d’une terre fertile La Grande Dame De Blanchefleur m’offrit en cadeau un stock de céréales .
Sur le chemin du retour nous passions près d’une abbaye en ruine , elle semblé avoir subit une guerre mais a mémoire d’elfe il n’y eut pas de guerre dans cette conté depuis plus de 71 années . En continuant notre chemin nous vîmes un malheureux sa charrette renversé au beau milieu de la route .
A peine j’eut le temps de donner l’ordre de mettre pied a terre que nombres de bandits surgissait des bosquets alentour.
Aucun d’entre eux n’était un soldat et moi et mes hommes pensions mater cette soudaine tentative de pillage. Grande fut notre surprise quand nous vîmes le nombres d’ennemi doublé voir triplé !!!
Les voleurs s’engagèrent au cors a cors sans même décochaient une volée de flèche .
Mes hommes et moi formions alors un cercle autour de Dame Blanchefleur.
Nous repoussions un troisième assaut quand un troll des cavernes brisa littéralement deux de mes hommes formant une faille dans nos défenses .
Je me dirigeai alors sur la bête quand une légion entière de paladins enfonça les lignes ennemis créent un mouvement de panique au seins des rangs ennemis l’un d’antre eux vin auprès de moi et me chargea de mener ma Dame en de lieus plus surs.
Peut après je quitté le convoi accompagné de mon amie.

Nous arrivâmes a la forteresse d’Eoïngal une heure plus tard.
Au soir nous vîmes une colonne de charrettes éclairer par seulement quelques lanternes aucun soldat n’était debout nul de pouvait se dressé de par lui-même , tous était couchers il avaient était ramené par de braves paysans qui les avaient ramassé gisant sur la route pavé…..
Je décidait pour récompensé ces braves paysans de leurs offrir un lieu de terre chacun et d’organisai le lendemain un grand festin en leur honneur.

Le soir au moment du coucher je ne put m’endormir paisiblement ,des questions sans réponse se bousculaient dans ma tête ???

Comment une poigné de vulgaires bandits auraient pu décimai toutes une légion de paladins entraînés ????
Et d’où venait ce trolls ??? Pourquoi nous avaient t’ils attaqué ???
Après avoir longtemps réfléchi je m’endormi de fatigue.
Le lendemain le première échange devait avoir lieu sur les berges de l’Indranéf bien entendu après le fâcheux incident de la veille les gardes était nombreux et les mesures de sécurité renforcé et je fit aussi en sorte que plusieurs arbalétriers soient prêts a tirer en cas d’urgence
Tout était calme sauf une chose intrigante : de l’autre coté de la berge il y avait un navire de pêcheur il capter mon intention quand soudain je vis une dizaine de marins pareillement vêtu au pilleurs de la veille .
Mes soupçons grandissaient mais il n’y eut plus aucun doute possible quand je les vis sortirent de grands arcs tirants des flèches enflammaient . je criai déjà :

»METTEZ VOUS TOUS AUX ABRIS !!!!!!!! »

Une flèche atterrie au pieds de Dame de Blanchefleur tous les arbalétriers en position répliquèrent aussitôt par de grandes volées de flèches.
Je vit un paysans s’an aller dans les bosquets alentours sans réfléchir je me lancé a sa poursuite .
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MessageSujet: Re: La Bibliothèque Eternelle   La Bibliothèque Eternelle Icon_minitimeDim 27 Aoû - 10:45

Chapitre 2
Partie 2 Les pilleurs de l’abbaye

Après s’être élancé a la poursuite du paysan Artorius le vit prendre un cheval et s’enfuir au galop sur le chemin menant a la vieille abbaye.
Ce saisissant de son arc et d’une flèche en même temps il banda son arc et décocha sur le paysan qui tomba lourdement.
Il se vêtit des habits du paysan et rattrapa la monture quelques mètres plus loin, il ne savait ou il devait aller alors il décida de suivre le chemin menant a l’abbaye.
Après plusieurs minutes il vit sur les hauteurs de l’abbaye deux étranges personnages qui le guettaient, il hésitai a monter quand l’un d’eux cria :
»Aller viens vite, mais tu est sur que personne ne t’a suivit ? »
Le seigneur répondit non d’un signe de tête, mit pied a terre et commença a monter les cours escaliers sinueux qui montai la crête en direction du bâtiment détruit.
Arrivé au sommet de son ascension grande fut sa surprise lorsqu’il reconnut nombres des paysans qu’il avait invitait a sa table et grand nombres de ses chevaliers portés disparus.
Tout en élaborant un plan il se contenter de suivre a la lettre les ordres donnés par celui qui semblait être leurs chef.
Le soir venu il commença a mettre en œuvre son plan ; tout d’abord il devait enflammait un grand tas de foin situé a l’opposé des cages ou étaient garder les chevaliers prisonniers, pour lui donner une diversion et avoir le temps de tous les libérés et de les armés.
Il prit une grosse torche avec la quelle il embrasa le foin avant de la remettre au même endroit.
Le plan fut une totale réussite : tout le monde courais en tous sens et la panique était totale, pendant ce temps le roi commencé a libérer ses hommes.
A quelques lieues de la on s’inquiétait pour le roi qui ne revenait pas mais quand les gardes virent le feu ils s’y ruèrent tous.
Une fois les chevaliers libre il fallait a présent les armés chose facile pour seulement une vingtaines d’homme, quand aux armes qui ne servaient pas Artorius les fis jetaient dans une rivière proche.
Les bandits venaient a bout de se feu et s’inquiétants de savoir si le feu avait était repéré il se ruèrent en direction des chevaux mais aucun d’entre était encore attaché et l’on pouvait voir que les liens des chevaux avaient était tranchés et les bandits pour se défendre voulurent s’armés mais cette fois encore nul armes n’était a sa place habituelle et quand le roi se montra avec ses vingt hommes tout en arme tout les escrocs se rendirent sans broncher.

Plusieurs minutes plus tard les soldats venant du château montaient pour arriver a l’abbaye grande fut leurs stupeur quand ils virent vingt hommes tenir en captivité une centaine d’autres.

Grâce à cet acte les convois de marchandises pouvaient désormais circuler en toute sûreté entre les routes des deux royaumes.

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MessageSujet: Re: La Bibliothèque Eternelle   La Bibliothèque Eternelle Icon_minitimeDim 27 Aoû - 22:55

--Chapitre3--
Le siège de la lune noire

Toutes les crises économiques résolues Artorius et son royaume grandissaient et prospéraient cependant un jour pendant un festin en l’honneur de la nouvelle lune un messager rentra dans la salle de festin tout en haleine, il se mit au devant du roi et dit « Sire roi j’ai une nouvelle des terres du nord les caverneux N..nous attaquent !!!
Un bruit de stupeur traversa l’assemblée présente et d’un simple mouvement Artorius fit se retourner la table tout en criant : « Que l’on fasse préparé les armées et que l’on donne des terres et de l’or a se messager !!!!! »
Sur le champ tout le royaume se bougea tout les chevaux furent attelés, tout les hommes mobilisaient , le bois fut abattu pour faire des lances et des boucliers, tout les forgerons furent appelés a créé des épées et des armures de toutes parent dans le château la garde royal se rassemblait.
Dans la tête d’Artorius le désordre aussi n’était pas des moindre car se serait la sa première guerre véritable.
Jusque dans les plus petits bourgs et dans les plus riches et nobles familles chaque homme de dix-huit à quarante huit ans fut appelé à prendre les armes et tout le monde savait que tous ne reviendraient pas.
Au terme de trois jours une considérable armée fut constituer et prenant la tête de plus de cent cinquante milles hommes Artorius commença sa route vers ses terres dans le nord.
Les seigneurs avoisinants ures vent de cette guerre et firent eux aussi mobilisés leurs armées non pas pour aller a l’aide d’Eoïngal mais pour parer une éventuelle attaque.

Après une brève marche les armées arrivèrent dans une vallée surmontait par de hautes falaises brunes et pour éviter toutes embuscade Artorius fit contourner la vallée se qui rallongeait le voyage de quelques heures mais dans sa tête les stratèges du roi se disaient mieux vaut prévenir que guérir.
A l’approche d’un petit village Artorius et sa garde personnelle virent approcher deux enfants l’un d’environ une dizaine d’année et l’autres sachant a peine marcher.
A leur vu Artorius vint a la rencontre des deux enfants et dit d’une voix douce qu’il n’avait que guère l’habitude d’employé
: « Mes enfants approchés que faites vous la seuls et ou sont vos parents mais tout d’abord qui êtes vous ? »
Balbutiants quelque peut le plus âgé dit sur un ton sanglotant
»N…nous sommes seuls c..car nos… parents ont étaients tu… tués… » et il fondit en larme une dame de chambre accompagnant le cortège le pris dans ses bras et partie soigné le pauvre enfant laissant seul son frère.
Artorius mit pied a terre l’herbe semblait si douce et le vent si léger qu’on ne pouvait imaginé que la guerre était la étendant peu à peu son voile de mort si amère et si sombre, il prit l’enfant dans ses bras le petit était pieds nus portant dans une main un ourson en peluche déchiré ,ses doigts étaient un petit peu boudiné et il avait l’aire perdu parmi les soldats en arme et le silence pesant qu’il régnait dans l’armée .Il était vêtu d’une chemise trop petite et d’un pantalon de couleur noir.
Noir se mot si laid si horrible revenait de plus en plus prenant une tournure de plus en plus douloureuse .
Prenant un air grave Artorius s’adressa a ses troupes non pas pour les motivés mais plutôt pour faire face a une dure réalité.
»Mes amis mes frères voyaient ici ces enfants sans père ni mère ! Que peuvent il fairent a présent livrés a eux même en ces terres ??? Quelle sont leurs chances du survit ??? » Se rasseyant sur sa monture blanche immaculée Artorius remit en marche son armée.
Après deux heures de marche ils aperçurent enfin la cité de minas Edor ci belle mais cependant assiégée par une armée 2 voir 3 fois supérieur en nombre .

»A partir d’ici nos routes se séparent mon enfant. « dit Artorius au jeune garçon qui était blottit sur sa veste de fourrure d’hermine.
N’ayant toujours pas ouvert la bouche le petit enfant dit »Au revoir monsieur.
» d’une petite voix sincère.
»A dieux,a dieux mon enfant dit Artorius tout en sentant les larmes venir lui rougir les yeux.
Il n’était pourtant pas d’habitude a pleuré facilement mais la douceur de cette enfant l’avait touché dans le plus profond de son âme et de son cœur .
Ses songes l’emportait quand un bruit d’éboulement le remit en état normal .
Il voyait ici des armes de siège détruire les tours blanches mais une voix de femmes lui dit de lui donner l’enfant.
IL se ressaisit et tout en enveloppant l’enfant dans le manteau d’une douce chaleur laissa apparaître son armure blanche éclatante.
Il haranguât alors son armée en hurlant sur les hauteurs de la colline :
»Aujourd’hui mes amis nous sommes ici réuni pour nous défendre contre notre ennemi, il est vrai que peut être que beaucoup d’entre nous ne rentrerons pas dans les mur de notre bonne et tendre citée ; Mais peut être aussi !!! que aucun d’entre nous ne rentrera !!!!
Et que le jour de cette annonce cent cinquante mères,filles ou veuves pleurs sur les murs de la citée et que dans cette élan de chagrin leurs larmes forment a elles celle un lac !!! Et ne savais vous pas quelles serait le nom de ce lac ????!!!! IL SE NOMMERAIT LE LAC DES HEROS !!!!!!!!
A MORT !!!! «
Et suivit par les cris de toutes son armée Artorius continuait de hurlait !
Ces hurlements emmenèrent tous les orcs a poussé de petits cris stridents et aigu mais il se disaient ne voyants pas le gros de l’armée restait derrière la colline qu’il viendrais facilement a bout de ses quelques hommes.
Le temps semblât s’arrêtait pour Artorius qui n’entendait plus que ses rapides battements de cœur. Il sortit son épée de son fourreau et croisant un rayon de soleil elle illuminât dit on jusque dans les terres infertiles poussant les orcs a fermaient les yeux.
Tous les orcs étant éblouis il cria alors :

»EN AVANTTT ! «
Les quelques hommes qui suivait le roi n’étaient qu’a quelques mètres des armées ennemies quand les dizaines de milliers d’hommes restés derrière la colline chargèrent à leur tours.

Le chao le plus totale était présent les orcs tombaient au sols par milliers ;pendant ce temps la deux légions de soldats furent chargée de détruire les armes de siège orcs parmi eux il y avait Erald un jeune homme de dix huit ans a peine, il se battait mais lui et ses amis croulaient sous le nombre des orcs et quand il se vit être le dernier de sa légion il hurlât :
»POUR LE ROI !!!«
Et il se jetât a corps perdu dans la bataille mais ne put rien faire seul et tomba au sols, sa dernière vision fut la main putride d’un orcs et son épée rouillé mais cependant il mourut la gloire et l’amour au cœur une seule raison le contrarié il ne verrait jamais son enfant.
Les orcs gisaient par terre et fuyaient en tous sens ils avaient gagné et son armée porterait désormais le nom de :
L’armée blanche d’Eoïngal.
Pour le retour Artorius empreinta le même le même chemin que pour l’aller rien n’avait changeait omit un point ils étaient plus de cent cinquante mille leur armures blanches mais a présent ils étaient moins de trente mille et le royaume mettrait longtemps a se relever mais ils avaient gagner et c’est se qui comptait.

Une fois au château tous les soldats furent soignés et baigné mais les blessures se guérissent à l’extérieur mais le cœur saigne pendant de longues années.
Un soir alors que le roi se promenait dans les champs il vit les deux enfants qu’il avait vus avant la bataille.
Les deux enfants couraient vers lui et le petit vint se jetait dans les bras du roi et a cette instant la Artorius comprit que ces enfants avaient besoin d’un foyer et d’une éducation et il décida aussi d’adopter ces deux enfants la.



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