--Chapitre3--
Le siège de la lune noire
Toutes les crises économiques résolues Artorius et son royaume grandissaient et prospéraient cependant un jour pendant un festin en l’honneur de la nouvelle lune un messager rentra dans la salle de festin tout en haleine, il se mit au devant du roi et dit « Sire roi j’ai une nouvelle des terres du nord les caverneux N..nous attaquent !!!
Un bruit de stupeur traversa l’assemblée présente et d’un simple mouvement Artorius fit se retourner la table tout en criant : « Que l’on fasse préparé les armées et que l’on donne des terres et de l’or a se messager !!!!! »
Sur le champ tout le royaume se bougea tout les chevaux furent attelés, tout les hommes mobilisaient , le bois fut abattu pour faire des lances et des boucliers, tout les forgerons furent appelés a créé des épées et des armures de toutes parent dans le château la garde royal se rassemblait.
Dans la tête d’Artorius le désordre aussi n’était pas des moindre car se serait la sa première guerre véritable.
Jusque dans les plus petits bourgs et dans les plus riches et nobles familles chaque homme de dix-huit à quarante huit ans fut appelé à prendre les armes et tout le monde savait que tous ne reviendraient pas.
Au terme de trois jours une considérable armée fut constituer et prenant la tête de plus de cent cinquante milles hommes Artorius commença sa route vers ses terres dans le nord.
Les seigneurs avoisinants ures vent de cette guerre et firent eux aussi mobilisés leurs armées non pas pour aller a l’aide d’Eoïngal mais pour parer une éventuelle attaque.
Après une brève marche les armées arrivèrent dans une vallée surmontait par de hautes falaises brunes et pour éviter toutes embuscade Artorius fit contourner la vallée se qui rallongeait le voyage de quelques heures mais dans sa tête les stratèges du roi se disaient mieux vaut prévenir que guérir.
A l’approche d’un petit village Artorius et sa garde personnelle virent approcher deux enfants l’un d’environ une dizaine d’année et l’autres sachant a peine marcher.
A leur vu Artorius vint a la rencontre des deux enfants et dit d’une voix douce qu’il n’avait que guère l’habitude d’employé : « Mes enfants approchés que faites vous la seuls et ou sont vos parents mais tout d’abord qui êtes vous ? »
Balbutiants quelque peut le plus âgé dit sur un ton sanglotant
»N…nous sommes seuls c..car nos… parents ont étaients tu… tués… » et il fondit en larme une dame de chambre accompagnant le cortège le pris dans ses bras et partie soigné le pauvre enfant laissant seul son frère.
Artorius mit pied a terre l’herbe semblait si douce et le vent si léger qu’on ne pouvait imaginé que la guerre était la étendant peu à peu son voile de mort si amère et si sombre, il prit l’enfant dans ses bras le petit était pieds nus portant dans une main un ourson en peluche déchiré ,ses doigts étaient un petit peu boudiné et il avait l’aire perdu parmi les soldats en arme et le silence pesant qu’il régnait dans l’armée .Il était vêtu d’une chemise trop petite et d’un pantalon de couleur noir.
Noir se mot si laid si horrible revenait de plus en plus prenant une tournure de plus en plus douloureuse .
Prenant un air grave Artorius s’adressa a ses troupes non pas pour les motivés mais plutôt pour faire face a une dure réalité. »Mes amis mes frères voyaient ici ces enfants sans père ni mère ! Que peuvent il fairent a présent livrés a eux même en ces terres ??? Quelle sont leurs chances du survit ??? » Se rasseyant sur sa monture blanche immaculée Artorius remit en marche son armée.
Après deux heures de marche ils aperçurent enfin la cité de minas Edor ci belle mais cependant assiégée par une armée 2 voir 3 fois supérieur en nombre .
»A partir d’ici nos routes se séparent mon enfant. « dit Artorius au jeune garçon qui était blottit sur sa veste de fourrure d’hermine.
N’ayant toujours pas ouvert la bouche le petit enfant dit »Au revoir monsieur. » d’une petite voix sincère.
»A dieux,a dieux mon enfant dit Artorius tout en sentant les larmes venir lui rougir les yeux.
Il n’était pourtant pas d’habitude a pleuré facilement mais la douceur de cette enfant l’avait touché dans le plus profond de son âme et de son cœur .
Ses songes l’emportait quand un bruit d’éboulement le remit en état normal .
Il voyait ici des armes de siège détruire les tours blanches mais une voix de femmes lui dit de lui donner l’enfant.
IL se ressaisit et tout en enveloppant l’enfant dans le manteau d’une douce chaleur laissa apparaître son armure blanche éclatante.
Il haranguât alors son armée en hurlant sur les hauteurs de la colline : »Aujourd’hui mes amis nous sommes ici réuni pour nous défendre contre notre ennemi, il est vrai que peut être que beaucoup d’entre nous ne rentrerons pas dans les mur de notre bonne et tendre citée ; Mais peut être aussi !!! que aucun d’entre nous ne rentrera !!!!
Et que le jour de cette annonce cent cinquante mères,filles ou veuves pleurs sur les murs de la citée et que dans cette élan de chagrin leurs larmes forment a elles celle un lac !!! Et ne savais vous pas quelles serait le nom de ce lac ????!!!! IL SE NOMMERAIT LE LAC DES HEROS !!!!!!!!
A MORT !!!! « Et suivit par les cris de toutes son armée Artorius continuait de hurlait !
Ces hurlements emmenèrent tous les orcs a poussé de petits cris stridents et aigu mais il se disaient ne voyants pas le gros de l’armée restait derrière la colline qu’il viendrais facilement a bout de ses quelques hommes.
Le temps semblât s’arrêtait pour Artorius qui n’entendait plus que ses rapides battements de cœur. Il sortit son épée de son fourreau et croisant un rayon de soleil elle illuminât dit on jusque dans les terres infertiles poussant les orcs a fermaient les yeux.
Tous les orcs étant éblouis il cria alors :
»EN AVANTTT ! «
Les quelques hommes qui suivait le roi n’étaient qu’a quelques mètres des armées ennemies quand les dizaines de milliers d’hommes restés derrière la colline chargèrent à leur tours.
Le chao le plus totale était présent les orcs tombaient au sols par milliers ;pendant ce temps la deux légions de soldats furent chargée de détruire les armes de siège orcs parmi eux il y avait Erald un jeune homme de dix huit ans a peine, il se battait mais lui et ses amis croulaient sous le nombre des orcs et quand il se vit être le dernier de sa légion il hurlât : »POUR LE ROI !!!«
Et il se jetât a corps perdu dans la bataille mais ne put rien faire seul et tomba au sols, sa dernière vision fut la main putride d’un orcs et son épée rouillé mais cependant il mourut la gloire et l’amour au cœur une seule raison le contrarié il ne verrait jamais son enfant.
Les orcs gisaient par terre et fuyaient en tous sens ils avaient gagné et son armée porterait désormais le nom de :
L’armée blanche d’Eoïngal.
Pour le retour Artorius empreinta le même le même chemin que pour l’aller rien n’avait changeait omit un point ils étaient plus de cent cinquante mille leur armures blanches mais a présent ils étaient moins de trente mille et le royaume mettrait longtemps a se relever mais ils avaient gagner et c’est se qui comptait.
Une fois au château tous les soldats furent soignés et baigné mais les blessures se guérissent à l’extérieur mais le cœur saigne pendant de longues années.
Un soir alors que le roi se promenait dans les champs il vit les deux enfants qu’il avait vus avant la bataille.
Les deux enfants couraient vers lui et le petit vint se jetait dans les bras du roi et a cette instant la Artorius comprit que ces enfants avaient besoin d’un foyer et d’une éducation et il décida aussi d’adopter ces deux enfants la.